Que Sigmund me pardonne

La fabuleuse découverte de Guy…

Vous allez pénétrer dans les tréfonds d’une caverne, pas n’importe laquelle, celle de ma mémoire, de mon histoire. De son début.

Ça commence quant au fait ?

Difficile à dire. Je pense vers 3 ans.

Dans les images qui refluent, je vois tout en grand. Les grands sont très grands. Les petits ne sont pas des grands !

Premier stade de la construction de la personnalité d’un futur auteur perspicace !

Deuxième stade : il existe des mamans et des papas. Là, passons, rien que de très banals. Les papas ont des pantalons et les mamans des cheveux longs et des jupes.

Le sens de l’observation de l’artiste se dessine là.

Il existe des petites mamans qui ont aussi des cheveux longs et des jupes, elles fréquentent ma cour de récréation et ma classe. Elles ne jouent pas aux mêmes jeux que moi, sauf à papa-maman. Elles restent souvent entre elles. J’aime bien être entre elles.

Je suis raide dingue de l’une.

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