L’arbalète

Deux silhouettes humaines se détachèrent soudain de la congère géante qui ensevelissait les véhicules ; l’une d’elles s’immobilisa dans le geste menaçant de celui qui tient une arme à feu; Un éclair, une détonation, je m’effondrais, fauché par la peur.

Quand je relevais la tête, à moitié asphyxié et de la poudreuse plein les narines, les deux spectres de la mort avaient disparu. Je restais seul, transi, hébété.

Lecture intégrale sur Atramenta
Commentaires

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s