Pour débusquer le personnage c’est un peu compliqué. On m’avait donné quelques pistes confuses. On m’avait parlé d’un vieux fourgon, bizarrement son domicile « fixe » et qui allait d’une olivette abandonnée à deux pas de Nîmes à un plateau lozérien perdu à 1500 mètres d’altitude. Cela en disait long sur la philanthropie du personnage. J’ai opté pour la Lozère à la vue des températures caniculaires qui régnaient sur la Rome française l’été dernier. Si vous avez peur des mouches, des bouses, des odeurs corporelles et des blasphèmes, ce reportage peut heurter votre sensibilité.