LEUR AÉROPORT NE SE FERA PAS.
C’est gagné ou presque, reste la décence de respecter ceux qui ont sauvés la zone humide de NDDL, pas toujours paysans, pas toujours artisans, mais un cœur énorme et un courage tout pareil.
Je pense aux plus jeunes d’entre eux qui ont payé un lourd tribu. Masqués parfois et c’était la moindre des prudences, ils ont pris des coups et en ont rendu. Outrages à gendarme, rébellion et refus d’obtempérer, Ils ont payé dans leur chair en éclats de grenades assourdissantes ou offensives F1(pas encore interdites alors, Rémi n’était pas mort…), en coups de matraques et tir de flashballs ou en mois de prisons.
C’est ainsi que le bocage fut sauvés faudra jamais l’oublier. Jamais…
Une nouvelle policière que j’ai écrit il y a cinq ans. Au retour de la manif de reconstruction.
Et un petit crobar périmé, mais qui fera pour d’autres ZAD ou au printemps…